*Naoki était de sortit ce soir, ayant laissé son jumeau dans la chambre d'internat pour plutôt aller prendre l'air et fumé une cigarette, car oui.. Au lycée, c'étais bien sur formellement interdit. Bref, il avait les mains dans les poches et la dîtes cigarette entre les lèvres. Il marchait sans vraiment regardé son chemin, sans savoir si il était près ou loin de l'internat, tout cela l'importait peu en faite. Une fois arrivé devant une sorte de grand lampadaire noir, il s'y arrêta pour s'y adosser et fumer tranquillement. Il était visiblement devant un grand théatre, ouvert cette nuit vue la foule qui en sortait.. Naoki n'était pas vraiment fan de ce genre de chose, être assit pendant des heures à regardé des gens parlaient.. Non merci. Il préfère laissé sa place à quelqu'un de plus haut placé va t-on dire. Tout ces gens, riches, bien habillés. Ça l'écoeurait. Pourquoi les gens ont une telle façon de montré qu'ils sont riche ? Lui aussi l'est, du moins, il l'était et n'avais jamais fait une telle chose, s'habillait correctement.. Que de connerie. Il suivait du regard chaque homme, chaque femme qui lui paraissait encore plus dégoûtante que les autres avant de remarqué une jeune femme qui rasé les murs en le fixant, lui. Pourquoi ? Parce qu'il était mal habillé ? Parce qu'il était pauvre ? Il s'avança vers la jeune femme d'un pas décidé, non pas pour la frappé ou lui faire peur, non. Il avait trop de respect envers les dames pour ça.. Quoique.. La il voulait juste des explications. Il croisa ses bras contre son torse, ne bougeant plus du tout, seul son regard bougeait de haut en bas pour dévisagé cette jeune femme..*
« Pourquoi vous agissez ainsi en me voyant ? J'ai l'air si pauvre que ça ? J'en suis désolé alors. »
*Autant s'excuser, même si à aucun instant, il ne les pensait.. Eh oui, Naoki était comme ça, sourire mielleux, regard vicieux, c'étais tout ce qu'il y avait à retenir de lui. Un hypocrite comme il en avait jamais existé. Eh puis, si cela pouvait lui permettre de parler avec une fille de 'haute gamme', autant jouer le jeux à fond se disait-il.*